Mary était tomber malade laissant une quarantaine de gens sans "maman". Mary était la femme qui s'occupait de tout le monde qui vivait dans la prison (moi y comprise), sauf qu’aujourd’hui elle ne c'était pas lever. Vous me direz avec 40 de fièvre... Bref, elle gerait tout ce qui était de l'ordre de la cuisine, linge, des nouveaux,blesser... C'est pour cela que je la considérait comme la moman de tout le monde.

Depuis que j'était arriver ici elle ma pris sous son bras moi je ne faisait que l'aider comme je pouvais. Plutôt bien apparemment car elle ne cherchât pas quelqu'un d'autre pour l'aider. Surtout pour la cuisine! Elle me disait souvent cette phrase :
"Ma p'tite Lee t'est la seule ici qui sais vraiment se servir d'un couteau! Elle montrait les gens autour de nous. Ces brutes savent tuer un homme avec mais couper un légume! N'en parlons pas! "
C'est donc comme ça que 6 paire de yeux se fixèrent sur moi quand la question de qui vas faire a manger sautât sur la table. Les regards appartenait au "brave gars " , comme les appelaient mary, qui voulais bien nous aider a faire la cuisine. J'avais d'abord rougis puis accepter, automatiquement tout le monde fut soulager. Il est vrais que j'avais toujours vécus prés d'une cuisine mais je n'avais pas le tempérament d'un chef de cuisine. Loin de la! Je me sentais plus a l'aise en tant que plongeuse!

Bientot je dut prendre les choses en main, il régnait dans la cuisine un joyeux bazar et tout ce passais affreusement mal. Je n'avait pas la voix de Mary ni l'autorité et le début fut médiocre. Je finit quand même par me faire écouter quand un gars avait fait bruler un plat. Je rougis encore en pensant a la gueulante que j'ai poussé. La suite fut plus calme et tout se réglât comme il faut. Dieu merci!

J'était maintenant toute seule dans la grande cuisine de l'ancienne prison. J'avait laisser les gars partirent et je finissait d’essuyer l'énoooooooooorme tas d'assiettes en fredonnant un air de musique classique. Je faisait de la danse avant, j’étaie plutôt douée mais sans plus. Je fit quelque tournoiement dans la cuisine une assiettes a la main. Mary était la seule personne qui savait que je dansait, j'était peu démonstrative il faut le dire...
Et Hope! Un petit saut gracieux! Je sourit cela faisait longtemps que je ne m'était plus entrainer! Je posais l'assiette et m'échauffait rapidement avant de commencer une partis du lac des signes, difficile sans musique cela ne donnait pas grand chose! mais je fredonnait toujours...

Spoiler:

Une fois la partie de danse terminé je fit un salut a levier, celui ci restât de marbre bien sur. ( ///PAN///) Puis j’entendis un bruit derrière moi et me figeait en sentant le rouge me venirent au jous. Au noms par pitié que personne ne m’aie vue! ><

J'avais eu mon lot de corvée de plonge et d'épluchage de patates depuis longtemps déjà. Mary était une véritable plaie. Une femme très gentille, toujours prête à aider, aimant les enfants - les siens avaient été tué lorsque la bombe nucléaire s'était abattue sur West Side - et surtout la mère donc toute personne rêverait. Mais quelle diablesse une fois sur son territoire. J'ai cessé de compter les heures que j'ai passé à faire les corvées qu'elle me donnait avant de devenir le lieutenant officiel des Freedom. Elle m'avait alors enfin laissé tranquille, n'ayant plus aucune emprise sur mes heures libres. Malgré tout, elle restait un des membres les plus importants du groupe, puisqu'elle travaillait toute la journée pour nourrir une bande de soldats et les forcer à aller à l'infirmerie à la moindre égratignure. Une vraie mère pour chacun de nous.

Après avoir rendu visite à mon ancienne tortionnaire et m'être assuré de son état, j'avais prit le chemin des cuisines. J'avais discuté longtemps de choses et d'autre avec Mary. Mine de rien, c'est fou comme elle arrive à vous faire parler... elle aurait du faire psy. Bref. Elle m'a raconté que la petite Lee Hang s'investissait beaucoup dans les tâches quotidiennes, autant que dans le combat habituel. Apparemment, ma protégée avait chaumé toute la journée pour nourrir les goinfres qui nous servent de membres des Freedom - de braves gars, mais qu'est ce qu'ils bouffent...

Les cuisines sont dans une sorte de sous-sol aménagé, plutôt agréable. Les seules fenêtres sont en hauteur pour donner sur l’extérieur, mais sont continuellement ouvertes. Une bonne odeur de plats frais règne donc toujours dans ce sanctuaire. Je m'étais installé à une des fenêtres en hauteur, une jambe pendant au dessus des têtes des gens qui s'activaient et à moitié dehors. Après m'être allumé une cigarette, je regardais en souriant ces jeunes bénévoles plein d'entrain. Et au milieu, perdue dans le brouhaha mais sûre d'elle, la petite tête brune de Lee.
Emporté par les voix joyeuses de mes hommes qui cuisinent des plats tous plus appétissants les uns que les autres, e me laisse aller à mes pensées.

Lee est la dernière à rester faire la vaisselle. Une trentaine de jeunes réunis dans une cuisine plus grande qu'un petit parc, a fait des dégâts. Assiettes en miettes, couverts par terre, tâches de sauce un peu partout, et surtout, trois pilles de plats de plus d'un mètre cinquante à nettoyer. J'eus un petit rire amusé en voyant la jeune fille face à ce défi et me laissais tomber de la fenêtre, jusqu'en bas, sur le sol glissant du sous-sol. Je m'allume une autre cigarette et me dirige vers la jeune fille.

Entre temps, Lee avait esquissé quelques élégants pas de danse. Elle était agile et souple. Même sans tenue immaculée ou robe, elle arrivait à donner à ces mouvements une certaine féérie. Lorsqu'elle s'arrêta, je sortis de derrière un four à pain en applaudissant.

- Eh bien eh bien, tu m'avais caché ce talent.

Elle dû sursauté et se tourna vers moi. J'avais du l'effrayer. Sans chasser mon sourire amusé, je fis un clin d’œil à ma petite protégée pour la rassurer et me tourne vers le tas d’assiettes sale qui l'attend.

- Mary est vraiment cruelle quand elle veut, hein ? Je vais t'aider.

Avant que Lee ne proteste, je me hisse sur la pointe des pieds (oui la pile est vraiment haute XD) pour attraper quelques plates et les poser dans le lavabo avant de commencer notre dur labeur.

- Mary est vraiment cruelle quand elle veut, hein ? Je vais t'aider.
Je fit un sourire de remerciement a mon héros. Car oui c'est comme cela que je considérais Viktor. Après tout c'était bien lui qui m'avais sauver des griffes de la Tex-corp! Rien qu'a cet évocation mental je frissonnais. M'empressant de prendre une assiette en m'aidant d'une chaise je me remit au travaille.
-Je pense qu'elle a le droit de l'être! Avec tous le travaille qu'elle fait! mais j'avoue que quelque corvée en moi ne me fairait pas pleurer!
Je frottais l’assiette en vitesse.
- De plus j'avais l'habitude d'aider le plongeur au restaurant. Je restais de marbre a l'évocation de mon passé. Il est vrais que je pleurais plus sur leur mort. Je n'en avais pas le droit, le temps de tristesse est révolue. Il n'y a pas de place pour les regrets dans ma tête, juste l'espoir peut s'y engouffrer. J'attaquait une deuxième assiette en regardant la pile avec un sentiments d'horreur *Encore tout ça a faire!* Me voyez vous?!
Je râle pour une pile d'assiettes alors que certaine personne ici se battent pour la liberté! Bon... je peut bien nettoyer leur cochonnerie... A deux la pile d'assiettes descendit un peu plus vite. D'ailleurs je fut soulager de ne plus être seule dans la grande cuisine.
- Ça vas en ce moment ? pas trop dure tout ça tout ça?
Tout ça : La guerre, Esîl, les morts, les blesser, le désespoir... C'est marrant la manie des gens a cacher les vrais chose derrières des petits mots qui nous apparaissent gentils. Tout est en ré aliter dit a demie rien n'ai complétement clair et si ça l'ai nous , pauvre humais, somment obliger de compliquer la vérité. En même temps je faisait partie de ces gens la et je m'autorisait a les critiquer. S'autorisait une chose ce n'es pas normal aussi. Si on se l'autorise c'est que au départ on ne dois pas forcement le faire la solution est donc de repousser ces barrières... Au prix de certaine chose! Je ne comprend pas trop notre fonctionnement intérieur en fait. Je posais l’assiette sur la pile propre et attendit la réponse de Viktor en tachant de me concentrer sur ce qu'il allais dire.

J'écoutais Lee parler d'une oreille seulement, tout en réfléchissant et en balançant les assiettes sur la pile propre.

On sentait le chagrin et le regret dans sa voix fluette. Ça a dû être une épreuve horrible pour elle. Ses parents ont été tués, par ces monstres bien sûr, et ils viennent encore la ramener chez eux pour la torturer. Beaucoup ont connu des épreuves similaires, mais Lee est celle qui m'a le plus touché. Peut être parce que nos histoires se ressemblent. Elle a perdu son foyer et sa famille aimante ; moi, j'ai perdu mon frère et beaucoup d'amis. Depuis, elle ne me quittait plus et me suivait comme mon ombre. Ça ne me gênait pas, j'ai l'impression d'être un super héros qui sauve la veuve et l'orphelin. C'est certes très loin de la vérité, mais le fait que Lee semble me vénérer à ce point était assez amusant.

- Ça va en ce moment ? Pas trop dur tout ça ?

La petite voix de ma protégée me fit sursauter et je laisser tomber une assiette par terre. Elle se brisa en mille morceaux, et je ne pus m'empêcher de la comparer à ma propre existence depuis quelques mois. Brisée, écartelée, irréparable.

- Oh, désolé. L'inattention.

Perdu dans mes pensées comme j'étais, j'avais presque arrêté d'écouter Lee et me sentis honteux. Je n'en fis rien, pour ne pas la vexer, et me pencha pour ramasser les bouts de céramique. Une épine blanche se planta dans mon doigt et fit apparaitre une goute de sang carmin.

- Comment ça va ? Oh, tu sais. Coussi-coussa...

J'ai de la chance d'être un bon menteur. Quand j'étais petit, je faisais souvent des escapades en forêt, en pleine nuit parfois. Lorsqu'ils fallait expliquer ça à mes parents adoptifs, j'inventais toujours des scénarios hors du commun. Et ils me croyaient. Sauf la fois où j'ai raconté qu'un troll m'avait enlevé, mas bon, avec les légendes vieilles comme le monde qui circulent en Finlande, ils auraient pu me croire.
Même quand je mens sur mon propre état, ça passe toujours inaperçu. Je peux avoir envie de me flinguer la cervelle, et dire que tout va bien, on me croit, parce qu'après tout, avec moi, il n'y a jamais rien qui va mal.
En ce moment, tout va mal. Vraiment tout. Mais je ne m'inquiète pas - je ne m'inquiète jamais. Il me reste la cause, de bons amis, des soldats... Et Esîl. Tuomas trouve que j'ai tendance à voir le bon côté des choses, il doit avoir raison.
Esîl... Vraiment ?

Je me redresse et jette les bouts de céramique de l’assiette brisée dans un assiète avant de me mordiller le pouce pour que le sang cesse de couler.

- Pourquoi est-ce que ça n'irait pas ? (Je force un sourire joyeux, qui passe inaperçu.) Bon, l'ennemi est à nos portes, et il est foutrement mieux armé que nous, mais nous, on a la volonté, et des liens. (Mon sourire se fait plus enthousiaste encore, comme à chaque fois que je parle des Freedom.) Eux son juste des soldats qui ne se connaissent pas et à qui on a apprit à combattre et mourir. Mais nous, notre union fait notre force...

Je soupire doucement, le regard las, et retourne à la besogne quotidienne qu'est la vaisselle. La pile est quasiment descendue, et je récupère les assiettes que devrait nettoyer Lee pour qu'elle ait moins de travail.

[c'est tellement bâclé -_-

Je ne put m’empêcher de sursauter quand l'assiette heurtât le sol. Les petit morceau s’éparpillèrent un peu partout.

- Oh, désolé. L'inattention.


Je lui fit un petit sourire pour signifier que c'était pas grave des assiettes on en casser tous les jours ici. Je le vit se pencher pour ramasser les bouts d'assiettes, je fit de même en faisant attention a ne pas me couper. Il ne manquerait plus que ça. 

- Comment ça va ? Oh, tu sais. Coussi-coussa...


J'hoche la tête, après tout il ne pouvais pas vraiment me répondre que tout baigner. Avec tout ce qu'il se passe... Il jetât les derniers bout de céramique dans une bout de l’assiette plus gros je les récupère consciencieusement.

- Faut pas mettre les bout d'assiettes casser a la poubelle. Fanny...
C'était une freedom folle d'art qui n’arretait pas de faire plein de projet. A décider de les utiliser pour faire une immense mosaïque et comme on a que des assiettes blanche elle compte faire un colombe. Symbole de la paix. c'est poétique non ?
J'avait dit ça d'un ton badins loin de savoir que Viktor avait comparer sa vie a cette assiettes. Cette même assiettes qui en des dizaine de vie brisé aller construire la future paix de la ville. Des sacrifices peut être mais pas en vain.
Tout en racontant cela je mit les morceau dans un bidon prévus a cet effet.
Je finit par me retourner vers Viktor quand j’entendis une nouvelle fois sa voix :
- Pourquoi est-ce que ça n'irait pas ? Eh bien surement parce que c'est la guerre dehors, que des hommes armées nous attende pour nous décimer.Bon, l'ennemi est à nos portes, et il est foutrement mieux armé que nous, mais nous, on a la volonté, et des liens. C'est la que je remarquais que son deuxiéme sourire n'était pas vrais. Certe très réussis, après tout Viktor est doué pour rassurer les gens. Mais on ne peut pas vraiment sortir un sourire comme ça dans ces temps. Eux son juste des soldats qui ne se connaissent pas et à qui on a apprit à combattre et mourir. Mais nous, notre union fait notre force...

Il reprit la vaisselle avec un petit soupire qui renforçât mes soupçons sur son honnêteté. Je m'approchais et pose ma petite main sur son épaule :
- T'es pas obliger de faire les gros bras, si tu a besoin de parler mais en disant la vérité je suis la. Je le regardais dans les yeux déterminé, je paraissais fragile mais je supportais pas mal de truc sans rechigner. Mais tu fais comme tu veut. Je finit ma phrase par un sourire qui se voulais réconfortant.

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