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 John Mounty × "Ce n'est pas une question de qui est, mais de qui sait."

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John Mounty
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John Mounty
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John Mounty × "Ce n'est pas une question de qui est, mais de qui sait." Empty
MessageSujet: John Mounty × "Ce n'est pas une question de qui est, mais de qui sait."   John Mounty × "Ce n'est pas une question de qui est, mais de qui sait." EmptySam 1 Juin - 11:14



John Mounty

Informations


Nom : John

Prénom(s) : Mounty

Âge : ?

Sexe : Homme

Nationalité : Britannique

Groupe : Freedom

Rang : Mutant

Métier : Espion/Détective

Pouvoirs/Capacités : C'est facile, John a une intelligence sur-développé, il voit tout les petits détails et peut en déduire alors du caractère et des habitudes de son interlocuteur, son Q.I fait presque le double de celui des plus grands scientifiques. En un seul regard, il peut déterminé si vous êtes fumeur, drogué et bien d'autre chose, c'est assez pratique lorsqu'il cherche des indices, mais il faut savoir qu'il ne tient pas en place et adore les trucs qui sorte de l'ordinaire, pour lui, c'est comme un jeu d'enfant.
John Mounty × "Ce n'est pas une question de qui est, mais de qui sait." 139248hrtjryuj


feat : Benedict Cumberbatch

There once was...

Vous le respecterez mais lui ne vous respectera pas. Où peut-être, cela ne dépend que de vous. Vos réactions, vos mots, il se souviendra absolument de tout, et si un jour vous venez à lui faire quoi que ce soit qui ne lui plaira pas, il n'hésitera pas à tout vous lancer d'un coup. Les coups peuvent bien faire mal, mais les mots, eux, peuvent briser bien des personnes. John le sait que trop bien, et sait tourner cela à son avantage. Il ne serait pas dangereux s'il ne saurait pas cela, venant du fait qu'il n'utilise jamais vraiment la force brute s'il peut utiliser les paroles. Dans son intelligence, il devient facilement détestable. Considérant les gens autour de lui comme de pauvres idiots qui ne savent rien de la vie. Pour valoir à ses yeux, il doit s'être passé quelque chose, quelque chose qui sort de l'ordinaire, qui aura été assez hors du commun pour avoir piqué sa curiosité. Négatif où positif, John portera un intérêt pour vous. C'est quelqu'un qui s'est fait avoir mais qui fait avoir. Il fera absolument tout en son pouvoir pour arriver à ses fins, et il n'hésitera pas à tuer, même s'il en a particulièrement horreur. Il n'ose pas l'avouer mais il est aussi incapable d'utiliser n'importe quel arme à feu sous prétexte que c'est trop bruyant, mais John le sait très bien que ce n'est pas à cause de cela. Que quelque part dans lui, le bruit de la balle sifflante le tourmente, et ceci, bien plus profondément que toutes les autres choses qu'il a put entendre/voir/sentir. Ennuyé par son futur, effrayé par son passé, il ne veut pas que celui-ci fasse surface. Malheureusement, tout moment de paix, si on peut appeler cela un moment de paix, doit prendre fin. Les secrets ont bien souvent un coût, et peu importe le secret, on finit toujours par retrouver la vérité, enfouie à des kilomètres sous mensonges empilés les uns après les autres, on le trouvera un jour.

John ne tient pas l'alcool, vous lui donnez ne serait-ce qu'un once de vodka, il sera malade pendant deux jours de suite. C'est étrange vu qu'il supporte plutôt bien les autres substances illicites, mais l'intolérance à l'alcool restera certainement un mystère pour la fin de ses jours. Le sociopathe a horreur des animaux à poils, aussi. Les choses puantes qui défèque sur votre plancher de bois franc, plutôt mourir que d'avoir à supporter ces créatures inutiles. C'est aussi un grand dépendant de nicotine depuis qu'il est devenu stable niveau stupéfiant et il fume pour deux. Récemment il a décidé d'essayer de calmer la tendance en utilisant des patchs de nicotine, ce qui semble faire son effet, heureusement.
Do you believe?

La première fois qu'on le voit, il semble souvent très effrayant, mais on doit cela à l'hérédité et que sa famille est bien loin d'être de ce qu'on pourrait considérer de chaleureuse. Vous serez tenté de regarder partout en même temps si vous le pourriez, car John est quelqu'un de gracieux. Il n'est pas ce genre de personne à qui vous voulez vous confier, non, loin de là. Dans sa froideur, il devient presque agréable. Car, il faut se l'avouer, John n'est pas quelqu'un de désagréable pour les yeux. Des pommettes définies, un regard d'un bleu-gris acier, un regard impénétrable mais qui en dit pourtant tant sur sa personnalité. Une tignasse bouclées de couleur charbon, qui semblent très agréable au toucher. Des sourcils bien présent mais pas trop, d'un charme discret, accompagné de lèvres distinguées sur ce joli visage bien platonique. Un trenchcoat noir qui rend sa silhouette plus grand qu'il ne l'est déjà et des vêtements de marque, preuve de la richesse de sa famille. C'est bien la seule chose qui lui reste, ses vêtements.

Ce visage si monotone peut bien vite se transformer en une explosion d'émotions, mais seulement si John est sur le point de craquer, quand il est au bout de la falaise, il devient très vite sentimental, c'est pour cela que la plupart du temps il préfère s'enfermer dans sa chambre en broyant du noir pendant des jours et des jours, oubliant de se nourrir. Il a une silhouette frêle, mais malgré les apparences il s'entraîne assez assidûment. Son dos est couvert de cicatrices et il a un semblant de tatouage au bas de sa colonne vertébrale. Un vieux truc qu'il s'était fait dans le temps.  

Say something.



Lumière sensible, descente immédiate.
C’était, encore et toujours, une journée agitée chez les Montgomery. Une famille qui n’a jamais le temps de se reposer, toujours sur ses gardes. Pourquoi? Parce que c’est une famille qui n’est pas loin d’avoir tout le pays à son dos sauf pour la famille royale, ce qui empire les choses. On est jaloux, on les envie comme pas possible, ces gens. De l’argent à en perdre le compte, et surtout tous les membres de cette famille sont d’une intelligence presque aveuglante. Presque des robots, les Montgomery, comme se disent la plupart des gens. Des robots qui sont loin d’être parfait.

John se tenait devant l’entrée de la maison, le regard perdu. Il s’était, une fois de plus, fait intimider aujourd’hui. Les gens le détestent parce qu’il est gosse de riche, et surtout que dans ces temps-ci, être riche rime surtout avec corruption. Bien sûr, il ne c’était pas laissé faire et leur avait dit sans aucune gêne qu’il devrait essayer une nouvelle activité au lieu d’essayer de l’énerver, ce qui était un échec à chaque fois. On lui avait asséné un coup sur la mâchoire, ricanant qu’il n’était bon que pour les poubelles. Aucune réaction de la part de John. C’est ce qu’on s’attendait de sa part aussi, le jeune garçon était aussi monotone qu’une mélodie de Bach. Son nez saignait mais il ne s’en rendit pas compte. Il préféra regarder droit devant lui, les bâtiments qui gâchait le paysage. Il soupira avec ennui avant de rentrer dans la maison, son sac sur ses épaules, prêt à affronter le courroux habituel de ses imbéciles de parents qui ne partageait pas son point de vue. Lorsqu’il rentra, il laissa balancer son sac vers le salon et avança dans la cuisine, là où se trouvait la petite famille. Petite de nombre mais exorbitante en caractère. Il fronça les sourcils, ne prenant même pas la peine de les saluer, pas un bonjour, rien. John n’aimait pas particulièrement ses parents, mais sans eux, il ne serait pas là. Enfin, ç’aurait peut-être été mieux ainsi, il ne s’ennuierait pas, mort. Mort était un grand mot, il n’aurait jamais existé. Quelqu’un qui n’a jamais vu le jour n’est pas mort. C’est son père qui réagit en premier, et bien sûr, sur un ton de reproche comme si c’était la faute de John si il se faisait frapper.

« Encore! Franchement, ce n’est pas sain, John! »

John ne réagit pas, tout simplement car les paroles de son père lui importaient peu. Voir pas du tout. Il haussa simplement les épaules alors que sa mère se mit à vociférer que si il continuait sur cette voie, il allait se tuer, et patati, et patata. Mais c’était la seule chose dans la vie de John qui n’était pas « si ennuyant que ça ». Ce n’est pas non plus comme si quelques coups de poings allaient vraiment le tuer, et que si sa mère pensait vraiment cela, alors elle se trompait vachement. Il passa une main derrière ses cheveux et soupira :

« C’est bon, et puis si je mourais, vous serez ravis. Alors ne faites pas comme si c’était le contraire. Je sais. »

Je sais que je ne suis pas grand, gros et imposant. Je sais que je ne suis pas aussi parfait que Gordon. Et je ne le serai certainement jamais car je suis John. Je suis trop faible pour tenir une compagnie. Trop faible pour garder le business de la famille. Tout cela, ses parents ne faisait que lui reprocher chaque jour. Subtilement, mais John le savait, et ça l’énervait. De pas pouvoir leur montrer qu’il était capable d’être fort, lui aussi. Sous les regards surpris et les paroles du genre « tu n’as même pas de preuve! », John monta vers sa chambre, qui jonchait celle de Gordon. Gordon le comprenait, lui. Il retira son manteau et alla le déposer sur son lit avant d’aller se diriger dans la chambre de son frère, celui-ci étant en train de lire sur la médecine. Gordon aimait le domaine de la médecine et la seule chose qui le retenait d’aller vivre son rêve était le business familial, dont il serait en charge dans quelques années, lorsque leur père prendra retraite. Gordon leva ses yeux bleus ciels sur John lorsqu’il s’avança pour aller s’asseoir à côté de son aîné. Lorsque Gordon remarqua la trace rouge sous le nez de son frère, cela le fit bondir de son lit et de s’exclamer :

« Tu devrais nettoyer ça, John!
-C’est la seule manière de me faire remarquer. »

Gordon murmura une réponse, mais John ne put l’entendre, mais il était certain que c’était quelque chose du genre que leurs parents étaient toujours à l’écoute de John s’il était dans le besoin. Gordon se dirigea d’un pas rapide vers sa salle de bain privée et ressortit avec un tissu blanc mouillé qu’il déposa en dessous du nez de John tout en sifflotant :

« Tu devrais faire plus attention, John. Et n’utilise pas comme excuse que c’était pour leur où me faire plaisir, parce que tu sais très bien que c’est encore ces imbéciles qui te font ça. »

Il ne pouvait pas comprendre. Il ne comprendrait jamais, parce que Gordon, lui, était quelqu’un de fort. De fier, et surtout, quelqu’un sur qui on pouvait faire confiance. John enlaça son frère avant de sortir en hâte de la pièce.
Il avait horreur de voir chaque jour la chose qu’il avait été toujours censé être.
Il se laissa tomber dans son lit avant d'empoigner une seringue et de se la mettre dans l'avant-bras d'un coup sec, les yeux mouillés mais le regard vide.
Il n'allait jamais devenir important.

×××××××
Quelques années plus tard.
×××××××

Ils atterrirent pour la première fois de leur vie en Amérique, Las Vegas, plus précisément. John faussait une moue déçue mais en dedans de lui il bouillait d'excitation, si jeune, si enjoué de la vie. Tout allait allé pour le mieux, son frère Gordon avait prévu d'aller se trouver un travail chez la grande compagnie. Quant à John, il ne savait toujours pas ce qu'il allait faire, certainement se trouver un travail chez la police de Las Vegas, qui sait? Ils s'étaient loué un bel appartement pour pas très cher et évidemment c'était eux qui payait tout. Leurs parents avait été furax d'apprendre leurs départs, enfin, son départ, à Gordon. Parce qu'il devait prendre la compagnie dans les mains, mais non. Il allait suivre son rêve. Mais nous sommes dans un pays en démocratie et ils durent le laisser voler. Pour John, ce n'était pas grave. De toute manière, il n'est pas Gordon. Gordon est le seul qui importe. John avait finit par s'y faire, de vivre dans l'ombre de son frère, mais en quittant Londres, il espérait se faire un peu de lumière, ne serait-ce qu'un rayon. C'est tout ce qu'il demandait, il allait peut-être bien finir par l'avoir un jour, non? Cette foutue reconnaissance qu'il existait et n'était pas un simple fantôme.

Tout allait bien jusqu'au jour où tout se passa. La fameuse bombe, hein? Cette satanée bombe qui a tout gâché. Enfin, pas tant que ça.

John marchait tranquillement, les écouteurs dans les oreilles lorsque ça s'est passé. Il avait été très proche de la bombe, et c'était surprenant qu'il était encore en vie. Les cris autour de lui, tout l'effrayait. Absolument tout. C'était comme des balles qui sifflaient, quand les jeunes enfants qu'il avait vu il y a à peine deux secondes se mirent à crier comme si on leur arrachait le cœur avec les dents. Une seule chose le torturait, c'était si Gordon se trouvait dans les parages. Il pouvait sentir ses muscles se tendirent au point qu'il ne pouvait plus bouger et se laissa tomber au sol, complètement impuissant. Il ferma les yeux, pensant que c'était les dernières secondes qu'il allait vivre, faux. Il avait faux. Il ne se souvient plus qui, pourquoi ni comment, mais il avait eut faux cette journée et lorsqu'il avait rouvert les yeux, il était dans son lit. Gordon n'avait pas dit un mot, mais John se doutait vaguement de quelque chose. Pourtant il ne dit rien. Il aurait tout de même préféré mourir là-bas si c'était pour souffrir autant de la tête.

Le mal de tête arriva, un mal de tête terrible, si terrible que même les aspirines ne marchait. John était littéralement cloué au lit, la sueur de son corps mouillant les draps et la respiration battante. Gordon ne disait mot, mais pourtant il sentait cette once de froideur peser sur lit. Il ne savait pas vraiment ce qui lui arrivait mais en tout cas, faites en sorte que cela cesse le plus rapidement possible.

Quelques jours plus tard, John se leva pour se regarder dans le miroir, son torse nu, il pouvait remarquer plusieurs cicatrices sur son dos, qu'il n'avait jamais remarqué auparavant. Tout était si...évident? Mais John ne pouvait se l'admettre.

×××

« Dégage, et ne reviens plus jamais! »

Gordon rumina autre chose avant de balancer d'un coup sec John hors du bâtiment, suivit d'une valise. John heurta violemment le sol, ce qui le renda inconscient pendant quelques secondes. Lorsqu'il rouvrit les yeux, il comprit automatiquement la situation. Il avait vu cela dans les nouvelles, un truc en rapport avec des gens qui avait subit une mutation. On menaçait les gens de mort s'il ne chassait pas ceux-ci. Gordon avait sûrement été simplement effrayé. Pourtant, lorsqu'il toqua à la porte, il ne répondit pas. C'était bon, maintenant. Qu'allait-il pouvoir bien faire? Il ramassa la valise et détala rapidement dans les petites ruelles. Il rencontra de nombreuses personnes, qui lui raconta bien des choses, comme quoi la T-Corp. était derrière cela, et John devina facilement que Gordon savait à propos de la bombe. Il avait sut, et pourtant, cela ne l'a pas empêché de laisser John sortir avec la menace imminente.
John sentit quelque chose battre contre sa cage thoracique, une soudaine envie de meurtre.

Il ne pouvait pas, non, il ne pouvait pas. Si Gordon était bien derrière le coup, John finirait bien par se faire poursuivre. Ce qui est facile, dans notre époque, c'est de la facilité qu'on a pour faire disparaître toute trace de notre existence sur cette Terre, des simples documents arrachés à la va-vite. Une facilité enfantine.

Il devait vite se trouver un vrai refuge, sinon il allait vite finir par mourir de faim.

×××

John était perdu, il vivant dans les ruelles sombres, à l'ombre de tous, accompagnés de quelques personnes qui avait subit le même sort, certains avait des enfants, d'autres était des enfants. Personne, pourtant, ne méritait ce sort. Fouiller dans les poubelles avoir à manger, et dormir dans des boîtes de cartons, une vie que peu ne méritait d'avoir. Mais pourtant, il la vivait bien, là, maintenant.

×××

Il se réveilla dans un lit, accompagné d'elle. Cela lui fit échapper un lourd soupir avant d'approcher son corps du sien, enroulant ses bras autour de la taille de la femme. Elle ne dormait pas, John l'avait remarqué, son corps se relevait normalement, hors, lorsqu'une personne dort, c'est comme si la personne ne respirait que faiblement. Sauf si elle ronfle. Alors là, c'était différent. Il entendit un léger soupir, et ferma les yeux quelques instants. Elle se délogea de son emprise avant de le regarder droit dans les yeux quelques instants, déposant un léger baiser sur son front, un rictus machiavélique au lèvres, de sortir hors de ce lit, de s'habiller et de détaler le plus rapidement possible, lançant un léger "Adieu, mon cher Montgomery." Ce qui avait fit rouvrir grand les yeux de John sur le coup. Il s'était présenté en tant que Mounty, et non, Montgomery, voulant paraître le plus discret possible.
Il ne connaissait presque pas cette femme. Mais lorsqu'il l'avait accostée, il sentait chez elle une certaine...chose? Un mystère, peut-être, quelque chose que John n'avait sut décrire et ce qui l'avait énervé au plus haut plus. Car il savait tout décrire, du plus au moins évident. Mais elle, non, elle était différente.
Cela lui avait piqué la curiosité, et ils avaient passé la soirée ensemble.
Il savait que cet adieu, il était définitif, et il n'avait toujours pas sut définir cette chose qui habitait la femme.

Il se leva péniblement pour ramasser la seringue qui traînait sur la table de nuit et l'enfonça dans son avant bras, désormais saccagés de perfusions. Encore une fois, il avait finit par retomber dans la drogue. C'était énervant, et ça énervait. Mais surtout, ça le tuait.
Pourtant, il appuya à nouveau et laissa le liquide se transpercer dans son sang.
C'est pas non plus comme si les choses s'arrangeait.

×××

Du jour au lendemain, les Freedom furent créés. Enfin, inconnu au grand monde, c'est sûr, mais on s'échangeait vite les nouvelles dans le coin, et c'est comme ça que John les rejoignit, étrangement, il laissa couler toutes ses relations avec les anciens mutants, aujourd'hui Freedom, les prenant comme pour de purs inconnus. On le déteste bien vite, ce Mounty. Trop vite qu'on oublie presque qu'il est humain.

Behind the screen

John Mounty × "Ce n'est pas une question de qui est, mais de qui sait." Tumblr_static_tumblr_inline_mysiarq7sl1rslyek
Prénom ou Pseudonyme : Crimson/Banane/Sab'

Age : 14 \o/

Que pensez-vous du forum ? : C'est le mien, bordel. èwè

Code du règlement? : Bon by myself honhonhon

Arrogant-Mischief sur Epicode
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John Mounty × "Ce n'est pas une question de qui est, mais de qui sait."

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